LE PATRON DU PPS, NABIL BENABDALLAH,
AIME CÉLÉBRER LES RICHES ET LES NANTIS
Demain,
25 juin 2015, au cinéma Ritz à Casablanca, des cadres du PPS rendront hommage
au cinéaste-vidéaste et heureux homme d’affaires, Latif Lahlou, en présence de
leur patron, l’incontestable Nabil BENABDALLH (actuel ministre de l’habitat),
qui me rappelle par son physique, l'intrépide acteur égyptien, Rochdi Abada,
qui, avec sa moustache, ou sans sa moustache, excellait dans l'interprétation
des rôles de séducteurs ténébreux et dans ceux de salauds implacables que Nabil
Benabdallah imita en donnant son feu vert au Mostapha Alaoui, qui l’avait invité
à son émission HIWAER, de me mettre à la porte du grand salon de l’hôtel Sofitel
de Rabat qui abritait l’émission HIWAR, mais qui ne l’abritera plus jamais,
suite à la lettre ouverte que j’avais adressée à Sa Majesté le roi Mohammed VI,
pour dénoncer l’agression barbare dont j’ai été victime, et dont les auteurs
étaient Mostapha Alaoui et trois policiers en civil. Tous quatre me neutralisèrent,
me sortirent du plateau de l’émission Hiwar, me frappèrent violemment et me
jetèrent dehors, avec menaces et insultes. C’était le mardi 9 mai 2011 à 21
heures trente.
Nabil
BENABDALLH n’aime pas les personnes qui risquent de lui donner le tournis, ou
la sensation de perde de son « aura » ; il aime bien célébrer les nantis et les riches, avec
qui il se sent à l’aise ; dans son élément ; dans son univers.
J’ai
toujours, présente à l’esprit, sa conférence, transmise par la télévision de Faïçal
Laaraïchi, annonçant fièrement, en tant que ministre de la Communication, l’octroi
de trente millions de dirhams (trois milliards de centimes), à un autre
cinéaste-vidéaste, homme d’affaires redoutable et fils d’un homme d’affaires,
encore plus redoutable, j’ai nommé le producteur et publiciste franco-marocain,
Nabil AYouch. Trois milliards pour produire des téléfilms parlant en berbère.
Et
c’est toujours le même nabil Ayouch, l’auteur
du film MUCH LOVED, que la stupide et ridicule interdiction, annoncée au nom du
gouvernement marocain par son porte-parole et ministre de la Communication,
Mostapha Khalfi, a élevé au rang de film
culte interdit, alors qu’il n’est en réalité qu’un piètre film français dans
lequel se bousculent des culs marocains, vus et filmés par des caméramans français,
qui a bénéficié du fonds d’aide du Centre Cinématographique Marocain de presque deux pour faire ses films et mener la
productions d’autres films marocains, réalisés par des cinéaste vidéaste vivant
à l’étranger.
Je
ne m’étonne donc pas de voir, dans un avenir proche, les cadres du PPS, sur proposition de leur incontestable patron, rendre hommage à nabil Ayouch, profession :
producteur, publiciste, cinéaste-vidéaste et homme d’affaires franco-marocain.
Rabat,
24 juin 2015.
Nabyl
lahlou