e dimanche 8 février 1998, en première page du journal L’OPINION, le porte-parle officiel du Parti de L’Istiqlal, j’ai été traité de proxénète et de maquereau dans un article signé de la haine de Naïm Kamal, ce mercenaire de la plume, qui a toujours été et qui continue d’être le fasciste qui se plaie à monnayer ses services de sinistre et lugubre mercenaire de la plume, comme il l’a fait avec hargne et lâcheté, du vivant de Driss Basri, l’ex-patron du tout puissant ministère de l’Intérieur de l’Information, qui, pour remercier ce pauvre énergumène qu’est Naïm kamal, lui donna la gérance du bar d’un club de pétanque où se côtoyaient boulistes et « bouliss », dont il fait partie.
Et c’est ce genre de gangrène plumitif qui a été choisi par le parti d'Allal Fassi, pour être présenté à Sa Majesté le roi Mohammed VI, qui l’a nommé parmi les membres composant la première HACA, la haute autorité chargée de l'audiovisuel.
TOUTE MA SOLIDARITÉ AVEC ALI ANOUZLA, CE FRÊLE ÊTRE HUMAIN MAIS COMBIEN SOLIDE ET BAGARREUR EN TANT QUE GRAND JOURNALISTE MAROCAIN
NABYL LAHLOU
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