- Ma réaction à l’entretiende madame KHADIJA ROUISSI avec LAKOME Je veux bien moi aussi être interviewé par Lakome, dans le but de pouvoir dénoncer et condamner les sabotages, les coups bas et les agressions physiques dont je suis victime, d'un côté, de la part du dictateur et despote, Faïçal Laaraïchi, l'empereur indétrônable des chaines et radios nationales, et sinistre et arrogant Secrétaire général du Parti Unique, représenté par la S.N.R.T et 2M, et, d'un autre côté, dénoncer et condamner la politique aveuglément punitive et destructive que Nour-Ediine Saïl, le patron du Centre Cinématographique Marocain, despote et dictateur, lui aussi, me fait endurer depuis que j'ai, légitimement, objectivement et professionnellement critiqué sa mauvaise et nuisible politique cinématographique. Sa dictature dure depuis plus de dix mois, me privant des moyens qui me reviennent de droit pour boucler le tournage de mon film REGARDE LE ROI DANS la LUNE ou L'ANNÉE DES MILLE ET UNE LUNES, dont le tournage a commencé le 29 mars 2010. Nabyl Lahlou
- Lettre ouverte à MONSIEUR MOHAMMED KETTANI, PRÉSIDENT D'ATTIJARI WAFA BANQUE Monsieur le président, Comme j’ai eu à vous l’écrire dans mes deux dernières lettres que je vous ai adressées par courriel, le 25 mai et le 23 juin 2011, le versement de la quatrième et dernière tranche de l’avance sur recettes, qui est de 750 000,00 dirhams, au compte de la société Loukkos Film / L’année des mille et une lunes, domicilié à Attijari Wafa Bank, agence moulay Hassan / Rabat, ne pourra être effectué qu’après la vision par la commission de l’avance sur recettes, de mon film Regarde le roi dans la lune ou L’année des mille et une lunes. Le directeur général du Centre Cinématographique Marocain, à qui le règlement du Fonds d’aide lui confère le droit d’accorder une partie de la quatrième tranche de l’avance sur recettes aux cinéastes qui n’ont pas fini leurs films, et qui le fait pour les cinéastes qui sont ses amis et ses proches, refuse systématiquement de le faire pour moi, m’empêchant ainsi de terminer le tournage de mon film auquel manquent quatre scènes importantes pour sa compréhension. C’est donc là un acte de sabotage de la part du directeur général du Centre Cinématographique Marocain. Il en est de même pour la commission de votre banque qui, habilitée à accorder les découverts, refuse, elle aussi, de m’accorder les cent mille dirhams de découvert que je n’ai eu de cesse de demander depuis le 25 mai 2011. Comme une grande institution bancaire et respectée comme la vôtre, à savoir Attijari Wafa Bank qui doit être imprégnée d’humanisme, d’audace et de courage, reste insensible à mes nombreux appels et lettres que je vous ai adressé, pour l’obtention d’un découvert de cent mille dirhams.. Soutenir la fin du tournage de mon nouveau film Regarde le roi dans la lune ou L’année des mille et une lunes, par l’octroi d’un découvert de cent mille dirhams – qui sera remboursé par le virement de la quatrième tranche de l’avance sur recette, ou une partie de cette dernière tranche, ne peut que rendre aux yeux du grand cinéaste et créateur universel que je suis, celui qui se bat depuis plus de quarante cinq ans pour créer et réaliser ses pièces de théâtre et ses films, avec très peu de moyens financiers, l’image de la banque dont vous êtes le président directeur général, saine et constructive pour les pauvres, au lieu d’être tout le temps au service des riches. Je ne vous demande pas la charité, monsieur le président Mohammed Kettani. Rabat le 1er septembre 2011 Signé Nabyl Lahlou
- Réaction de Nabyl Lahlou L'opération Printemps Amazigh Le Maroc a vraiment raté sa chance de construire une vraie nation marocaine avec une vraie identité nationale et une vraie langue nationale. Depuis les premières années de notre Indépendance, et jusqu'à aujourd'hui, notre pays continue de payer les frais de sa lamentable politique de l'enseignement de la langue arabe. Après plus de 57 ans d'Indépendance, la jeunesse marocaine, au lieu de parler une langue arabe, simplifiée et généralisée à tout le pays, c'est un charabia, un vulgaire cocktail de croisement de mots,(arabes dialectale, berbère, français, espagnol et anglais), qu'il affectionne pour parler et communiquer. Avez-vous jamais écouté parler notre jeunesse sur les ondes des radios marocaines publiques et privées? C'est à vous donner envie de vomir. Je comprendre donc les berbères qui défendent leur identité, à condition qu'ils ne soient pas manipulés par les nostalgiques du dahir berbère Nabyl Lahlou
- CHER ET RESPECTE PROFESSEUR, SI MOHAMMED GALLAOUI, LE DIRECTEUR GÉNÉRAL DU CCM QUI CONTINUE DE ME SABOTER EN REFUSANT SYSTÉMATIQUEMENT DE M'ACCORDER UNE PART DE LA QUATRIÈME TRANCHE DE L'AVANCE SUR RECETTES, ACCORDÉE A MON PROJET DE FILM L'ANNÉE DES MILLE ET UNE LUNES, GRÂCE A VOUS ET AUSSI GRÂCE A MA MADAME FATEMA CHAHID, VOUS CONFIE LA PRÉSIDENCE D'UNE COMMISSION QUI CHOISIT UN FILM FRANÇAIS POUR L'ENVOYER CONCOURIR AU NOM DU MAROC DANS LE CADRE DES OSCARS... JE SUIS PLUS QUE TRISTE DE VOIR UN GRAND PENSEUR DE VOTRE ENVERGURE PRENDRE PART A CETTE SUPERCHERIE. AVEC MON BON SOUVENIR NABYL LAHLOU
samedi 3 septembre 2011
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